Gamin, j'accompagnais ma mère au numéro 8 de la rue de l'Académie où elle mettait au clou ses bijoux, chez Cabas, prêteur sur gage. L'usurier existe toujours et ma mère y a perdu tous ses bijoux. Je la connais donc depuis longtemps. Aujourd'hui, c'est ma rue. C'est là que j'habite.